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28 Oct

Préhistorienne : Nathalie Rouquerol

Publié par Dominique Rech  - Catégories :  #Préhistoire, #Bibliothèque historique

Préhistorienne, diplômée de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), spécialisée en histoire de la préhistoire, ancien membre associé CNRS du laboratoire TRACES à Toulouse, a dirigé la restructuration et la reconstruction du musée de préhistoire d’Aurignac. Auteure de plusieurs ouvrages et documentaires.

Source : https://nathalierouquerol.fr/

 

Préhistorienne, diplômée de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), spécialisée en histoire de la préhistoire, longtemps membre associé CNRS du laboratoire TRACES à Toulouse, a dirigé pendant 14 ans le musée de préhistoire d’Aurignac.

LIBÉRATION du 11 juillet 2019 consacre quatre pages à la préhistoire, dont un bel article de Catherine Mallaval, sur notre livre titré « Une Vénus peut en cacher une autre ».

 

Bibliographie
Les titres soulignés signalent en outre un travail d’éditrice
Rouquerol Nathalie & Fañch Moal (2018) – La Vénus de Lespugue révélée, Ed. Locus Solus, 248 p.
Le 9 août 1922, un coup de pioche dans le sol d’une grotte de Haute-Garonne met au jour une statuette d’ivoire préhistorique. Un personnage féminin apparaît. Âgée de 25 000 ans et baptisée « Vénus de Lespugue », du nom du site de sa découverte, elle suscite immédiatement passions et controverses. L’aventure de cet emblème du musée de l’Homme à Paris est une histoire étonnante, racontée par Nathalie Rouquerol, préhistorienne référente sur la question. Son analyse très accessible croise ici celle, sensible, de Fañch Moal, artiste peintre et sculpteur. Beaucoup citée, rarement comprise, c’est la première fois qu’une étude aussi complète est consacrée à la Vénus. Car c’est en portant sur elle un regard neuf, en suivant l’artiste et son geste, qu’ils parviennent à lever le voile sur sa vraie nature. Une véritable révélation, livrée à l’appui des meilleures sources et illustrée, à côté de dessins originaux, de documents, schémas et photographies couleur.
Nathalie Rouquerol. Diplômée de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales auprès du professeur Jean Guilaine, Nathalie Rouquerol, préhistorienne est spécialisée en Histoire de la préhistoire. Elle a dirigé pendant quatorze ans le musée de préhistoire d’Aurignac et été longtemps expert associé à l’Unité mixte de recherches CNRS UMR 5608 TRACES à Toulouse.
Fañch Moal. Peintre et sculpteur, diplômé des beaux-arts de Paris, prix des Formes humaines au musée Rodin, prix Charles Despiau. Plusieurs ouvrages lui sont consacrés. Son travail est régulièrement exposé à la Galerie La Corne au fer (Vconfort-Meilar, 29).

Facebook : La Vénus de Lespugue révélée

Source : https://universitepopulairegrandtoulouse.fr/nathalie-rouquerol/

L’origine de l’Homme, Édouard Lartet (1801-1871) de la révolution du singe à Cro-Magnon

Aujourd’hui, nous savons que l’âge de la Terre se compte en milliards d’années et celui des hominidés en millions. Mais, au début du xixe siècle, l’idée même d’une émergence très ancienne de l’humain paraît une hérésie. Au détour des années 1820, Édouard Lartet, jeune avocat stagiaire à Paris, se passionne pour quelques animaux fossiles trouvés dans sa terre gersoise. L’archéologie en est alors à ses débuts. En 1834, il envoie sa première communication au Muséum de Paris. Porté par ses découvertes, Lartet abandonnera le droit pour consacrer le restant de sa vie à rechercher les preuves de l’existence de l’homme fossile.

L’avènement de l’origine ancienne de l’homme est une révolution scientifique, culturelle, morale et psychique dans laquelle Édouard Lartet a joué un rôle majeur. La notion même de préhistoire, d’une humanité antédiluvienne, heurte préjugés, dogmes et acquis. Lartet subit oppositions et censures, mais poursuit inlassablement ses fouilles. Servi par un caractère tenace et une chance insolente, son parcours est jalonné de découvertes extraordinaires : le premier singe fossile européen, à Sansan dans le Gers ; les premiers outils validés en grotte, à Aurignac en Haute-Garonne ; puis les premières œuvres d’art préhistoriques et, enfin, une sépulture maintenant connue de tous, celle de Cro-Magnon aux Eyzies en Dordogne.

En quarante ans d’une intense activité scientifique, Édouard Lartet croise tout ce que la France, mais aussi l’Angleterre, compte de paléontologues, avec lesquels il débat sans relâche.

Des illustrations, encarts et courtes fictions animent l’ouvrage, formant une vaste fresque d’un siècle passionnant, entre vie parisienne et monde rural, entre monarchie, Empire et République, entre croyance et raison, entre mythe d’Adam et réalité de Cro-Magnon.

Nathalie Rouquerol et Jacques Lajoux – préface d’Yves Coppens

Source : https://www.loubatieres.fr/?p=6186

Le 9 août 1922, un coup de pioche dans le sol d'une grotte de Haute-Garonne met au jour une statuette d'ivoire préhistorique. Un personnage féminin apparaît. Agée de 25 000 ans et baptisée "Vénus de Lespugue", du nom du site de sa découverte, elle suscite immédiatement passions et controverses. L'aventure de cet emblème du musée de l'Homme à Paris est une histoire étonnante, racontée par Nathalie Rouquerol, préhistorienne référente sur la question. Son analyse très accessible croise ici celle, sensible, de Fanch Moal, artiste peintre et sculpteur. Beaucoup citée, rarement comprise, c'est la première fois qu'une étude aussi complète est consacrée à la Vénus. Car c'est en portant sur elle un regard neuf, en suivant l'artiste et son geste, qu'ils parviennent à lever le voile sur sa vraie nature. Une véritable révélation, livrée à l'appui des meilleures sources et illustrée, à côté de dessins originaux, de documents, schémas et photographies couleur.

Source : https://www.locus-solus.fr/product-page/la-v%C3%A9nus-de-lespugue-r%C3%A9v%C3%A9l%C3%A9e-version-numerique

 

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