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21 Apr

Psychanalyste : Moussa Nabati

Publié par Dominique Rech  - Catégories :  #Psychothérapie, #Développement Personnel, #21e siècle

Moussa Nabati, né à Téhéran[1] (Iran), est psychanalyste, thérapeute et chercheur, docteur en psychologie de l'université de Paris VII[2] et auteur de plusieurs ouvrages. Il a quitté son pays natal à 19 ans pour suivre ses études à Paris[1].

Publications

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  • 1989 : La dépression, éditions Bernet-Danilo
  • 1990 : Le père, à quoi ça sert ? La valeur du triangle père-mère-enfant, avec Simone Nabati, Jouvence, 224 pages
  • 2002 : L'humour-thérapie, éditions Bernet-Danilo ; rééd. Le Livre de Poche, 2010
  • 2005 : La dépression : une maladie ou une chance ?, Fayard, 261 pages
  • 2005 : La dépression, une épreuve pour grandir
  • 2006 : Le bonheur d'être soi
  • 2007 : Ces interdits qui nous libèrent. La bible sur le divan, Dervy, coll. « Chemins de l'harmonie »
  • 2008 : Guérir son enfant intérieur, Le Livre de Poche, 412 pages
  • 2009 : Le fils et son père, éditions Les liens qui libèrent
  • 2011 : La Bible : Une parole moderne pour se construire et s'épanouir, Dervy, coll. « Chemins de l'harmonie », 250 pages
  • 2012 : "Comme un vide en moi": Habiter son présent, Fayard, 324 pages
  • 2014 : Devenir femme, au sein du triangle père-mère-enfant, Dervy
  • 2016 : Renouer avec sa bonté profonde, Fayard, 305 pages
  • 2018 : Réussir la séparation, Fayard , 290 pages
  • 2023 : Se reconstruire - La blessure est l'endroit par où la lumière pénètre en vous, Robert Laffont, 272 pages

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Moussa_Nabati

Moussa Nabati est psychanalyste, thérapeute et chercheur. Docteur en psychologie, il est l'auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels Le Père, à quoi ça sert ?, avec Simone Nabati (Jouvence, 1994) et, chez Fayard, La Dépression : une maladie ou une chance ? (2005), Le Bonheur d'être soi (2006) - prix Psychologies 2007 -, Guérir son enfant intérieur (2008).

Source : https://www.fayard.fr/auteur/moussa-nabati/

 

La vie est une cascade ininterrompue de séparations. Il s’agit à chaque étape de tourner une page pour en commencer une nouvelle.
La séparation représente toujours une épreuve dans les trois sens du terme : elle est souffrance d’abord, ressentie telle une déchirure, test ensuite, révélant les failles et la solidité de l’individu, passage initiatique enfi n, occasion privilégiée de se reconstruire.
Pourquoi une rupture sentimentale, un licenciement, le départ des enfants devenus grands, la retraite, une perte d’argent ou celle d’un proche sont-ils vécus parfois si douloureusement ? Pourquoi certains s’enferment-ils dans des dépendances affectives ou addictions diverses : la nourriture, le sexe, les médicaments, les jeux vidéo… ?
Moussa Nabati montre, grâce aux riches témoignages de ses patients, que ces blocages ont pour origine l’échec de l’attachement premier à la mère ; la rupture de cette relation fondatrice maintient le sujet dans la fusion, l’empêchant de se lier aux autres de façon équilibrée ou de les quitter dans la sérénité. Toute angoisse de séparation, d’abandon, de solitude provient dès lors de la survivance des blessures anciennes. Seuls le retour à son intériorité, la pacifi cation de son passé et la réhabilitation de sa mère intérieure permettent de réussir à tisser enfi n des liens adultes.

Moussa Nabati est psychanalyste. Docteur en psychologie, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont Le Bonheur d’être soi (Fayard, 2006-Prix Psychologies 2007 ; Le Livre de poche, 2008), Guérir son enfant intérieur (Fayard, 2008 ; Le Livre de poche, 2009) et Renouer avec sa bonté profonde (Fayard, 2016 ; Le Livre de poche, 2017).

Source : https://www.fayard.fr/livre/reussir-la-separation-9782213704548/

 

Comment renouer avec sa bonté profonde, cette source d’énergie, d’estime de soi et d’amour ? Comment réussir à se regarder avec bienveillance pour s’accepter sans se dénigrer ?
Moussa Nabati montre, à travers de nombreux témoignages, que ce n’est pas l’adulte qui souffre d’une image négative de lui-même, mais le petit garçon ou la petite fille qu’il a été.
Cet enfant intérieur, affecté par la Dépression Infantile Précoce (D.I.P.), suite à une carence matricielle, le pousse à se maltraiter, à se sacrifier. Il le contraint aussi à devenir irréprochable, parfait, dans le but d’attirer la reconnaissance et l’affection.
Ce combat n’aboutit évidemment qu’à l’épuiser, en accentuant son mal-être.
Renouer avec sa bonté profonde nécessite un pèlerinage dans son histoire personnelle et transgénérationnelle pour retrouver son enfant intérieur oublié et apprivoiser les fantômes du passé.
 Ce cheminement rend le Moi moins dépendant des autres et de l’extérieur, plus centré donc sur son intériorité. Il l’aide surtout à s’assumer, sans crainte de déplaire ou d’être rejeté, avec ses forces et faiblesses, ses ombres et lumières.
« Le bien que tu feras à toi-même, c’est le mal que tu ne feras pas à autrui ! »

Moussa Nabati est psychanalyste, docteur en psychologie de l’Université de Paris. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont les best-sellers Le Bonheur d’être soi (Fayard, 2006, Prix Psychologies 2007) et Guérir son enfant intérieur (Fayard, 2008).

Source : https://www.fayard.fr/livre/renouer-avec-sa-bonte-profonde-9782213681801/

 

« Comme un vide en moi… » Que cache cette plainte maintes fois entendue? Quel est son sens, son origine ? Pourquoi est-il parfois si compliqué de jouir du temps présent ? Comment habiter son corps et le monde en lien de confiance avec autrui ? 
Moussa Nabati montre, à travers trois témoignages, que ce mal-être reflète l’absence à soi, pouvant se manifester par l’instabilité, l’hyperactivité, l’ambivalence, mais aussi par les angoisses, la dépression et les difficultés en amour. 
Ce trouble provient d’une carence matricielle ancienne, due à l’indisponibilité psychologique de la mère. Le sentiment d’abandon crée chez le bébé une dépression infantile précoce, responsable plus tard du vide intérieur empêchant l’adulte d’être présent à soi et aux autres. Ce dernier aura alors tendance à lutter contre les situations qui lui rappellent son manque matriciel originel et à rechercher, à l’excès, amour et reconnaissance, afin de combler son vide. Mais cette fuite et cette quête ne feront qu’exacerber sa dépendance affective. À travers son concept de « compréhension Incarnée », l’auteur propose des pistes d’éclairage et d’évolution : réhabiliter ses parents intérieurs afin de réussir à se comporter vis-à-vis de soi telle une gentille mère et un père protecteur pour transformer son vide en source d’énergie et « cueillir les roses de la vie ».

Moussa Nabati est psychanalyste. Docteur en psychologie. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Le Bonheur d’être soi (Fayard, 2006, Prix Psychologies 2007), Guérir son enfant intérieur (Fayard, 2008) et La Bible, une parole moderne pour se reconstruire (Dervy, 2010).

Source : https://www.fayard.fr/livre/comme-un-vide-en-moi-9782213661278/

 

Par l’auteur du Bonheur d’être soi, Prix Psychologies 2007
Tout être humain abrite en lui, telle une poupée russe, deux personnes, deux désirs, deux Moi, l’un adulte et l’autre enfantin. Le premier, soumis au principe de réalité, est capable de se comporter, au travail ou en amour, de façon lucide. Le second, en revanche, faute de réflexion et de recul, emporté par une émotionalité débordante, oscille entre la dramatisation anxieuse et l’excitation euphorique.
C’est en réalité l’enfant intérieur qui guide les pas de l’adulte. Il se conduit en ange gardien lorsque le sujet a pu vivre son enfance, aimé et sécurisé, dans la gratuité du désir. Mais il risque de se conduire en persécuteur, plaçant répétitivement l’adulte dans un contexte d’échec et de dépendance affective, s’il a été victime de maltraitances ou a dû assister en toute impuissance à la souffrance de ses parents. Ainsi, une enfance non vécue, avortée, blanche, se transforme en fantôme, hantant le sujet et l’empêchant d’être lui-même, confiant dans sa bonté et ses capacités.
Moussa Nabati montre, à travers de nombreux témoignages, que ce n’est jamais vraiment l’adulte qui souffre, mais le petit garçon ou la petite fille en lui, sous l’emprise du fantôme. Dès lors, pour se libérer du passé et trouver son équilibre, nul besoin de recourir à des solutions extérieures, aux conseils et recettes pratiques, à la consommation addictive, aux antidépresseurs et anxiolytiques. Le projet existentiel le plus précieux de chacun devrait consister à retrouver son enfant intérieur, à l’écouter et à faire la paix avec lui pour le guérir.

Source : https://www.fayard.fr/livre/guerir-son-enfant-interieur-9782213633077/

 

À travers de nombreux témoignages, Moussa Nabati montre que le seul vrai obstacle empêchant l'adulte de goûter au bonheur provient de sa difficulté à oser être lui-même. La raison principale en est la présence en lui d'une dépression souvent inconsciente qui affecte son enfant intérieur. Il se vit de ce fait coupable et indigne d'être heureux.

Être soi, cela veut dire s'aimer, se respecter, en jouissant d'un psychisme autonome, différencié des autres mais relié à ses origines et à son passé. Cela permet de ressentir, de choisir, de désirer et de s'exprimer en son nom propre, pour son compte, à sa vraie place. Ainsi, l'énergie vitale parvient à circuler librement à travers le psychisme, tel un fleuve irriguant les plantes du jardin intérieur, préservé des extrêmes nocifs, l'excitation ou la dépression. Être soi, c'est le grain, et le bonheur, la paille. En cultivant le premier, quoiqu'il arrive, le second se manifestera de surcroît.

Dès lors, l'adulte n'a rien de particulier à « faire » - exercices, régimes ou « recettes » - pour trouver le bonheur ; seule la pacification avec sa propre histoire pourra l'en rapprocher.

Source : https://www.fayard.fr/livre/le-bonheur-detre-soi-9782213625263/

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